Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 31-12-21
Les dimensions ne sont générées que par les croyances humaines.
Vous l'avez sans doute compris maintenant, à chacun et chacune de créer la société d'harmonie, la société éternellement nouvelle. Les clefs vous ont été données, l'union de l'attention, de l'intention et de l'amour. L'amour reste la clef maîtresse. Et l'amour implique le positionnement.
Qu'entendons-nous par positionnement ? Ce ne peut être une personne enfermée dans la tridimensionnalité par sa croyance d'enfermement qui peut créer la société nouvelle. Cette personne pourrait tout au plus améliorer la société peut-être un peu moins étriquée avec une bonne volonté qui resterait basée sur les voies étriquées.
Qui a su entendre que chaque être est multidimensionnel ? La majorité sait l'entendre pour l'appliquer à quelques êtres qu'ils croient d'exception et auxquels ils délèguent leur puissance, attendant que quelque chose se passe. Celui ou celle qui sait entendre la multidimensionnalité porte toute son attention à l'individualisation de lumière qui est ce que Je Suis - cela est dit en son nom.
Car vous le savez, les dimensions en fait ne sont générées que par les croyances humaines. La multidimensionnalité se situe dans la simultanéité et l'éternité. Chaque être pourrait être mis à la ressemblance d'un prisme à mille facettes. L'attention donnée sur une ou plusieurs facettes les rend prédominantes. Toutes les facettes du prisme sont vivantes. Celle à qui la puissance de l'attention est offerte est prédominante, pleinement fonctionnelle.
Créer la société nouvelle implique simplement et grandiosement donner toute la plénitude de l'attention à l'aspect le plus lumineux de son individualisation, non au sein de la tridimensionnalité. La tridimensionnalité en soi n'est qu'une croyance. L'attention étant toute mise sur les limites tridimensionnelles, elle semble être la seule réalité pour beaucoup. Créer la société nouvelle est oser offrir la plénitude de l'attention à l'Être de lumière qui est ce que Je Suis - ceci étant dit au nom de chaque être.
Mettre son attention est acte de dévotion. Encore une fois, il ne s'agit pas au sein de la tridimensionnalité de jouer à être spécial ou lumineux, savoir reconnaître. Il suffit de s'incliner et de se taire. Regarder l'aspect de soi qui semble régi par les lois tridimensionnelles comme un aspect de soi honorable et honoré, une simple facette du prisme.
Si l'on croit qu'un prisme n'a qu'une facette, ce n'est pas un prisme. Si l'on croit que l'être humain n'est régi que par une dimension, ce n'est pas l'être humain. Vous le savez, le reste de l'univers vit dans l'évidence de la multidimensionnalité. Les animaux conversent avec les anges. L'univers tout entier honore la multidimensionnalité. Cela semble être la partie manquante pour le puzzle de la société d'harmonie. Qui osera ?
Encore une fois, oser n'est pas se dire lumineux ou se croire différent ou spécial. Depuis la plus grande humilité, par amour pour l'amour, par amour pour ce rayonnement incarné en un être, Christ au cours des âges, Babaji ou Jésus ou tant d'autres, par amour pour cet Être, il en est qui naturellement sont ouverts à la multidimensionnalité. Il est dit d'eux qu'ils font des miracles, les miracles est la norme pour les dévots de l'amour.
Ce n'est qu'ainsi que la porte de la société nouvelle peut s'ouvrir. Ce ne peut jamais être tant que l'humanité croit que certains seuls sont spéciaux ou multidimensionnels, ou quoi encore. Qui osera ? Les clefs vous ont été données. L'union de l'attention, de l'intention et de l'amour. La clef pour que cette union soit opérationnelle est la pleine présence.
Le souffle vous aide. Simple et exigeant. Celui ou celle qui est pleine présence a la vision vaste, celle qui sait entendre l'intérêt de chaque parcelle de création et honorer la vision vaste, celle qu'est le cœur. Chaque murmure est entendu et à chaque murmure il est répondu. Tout est alors écho à la gloire de l'Être. Tout se sait le dévot de la gloire de l'Être. Là tout est possible. Ne pas attendre, oser.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-12-21
Chaque règne a ses codes que les autres règnes respectent et honorent.
Si l’on veut s’attarder sur l’histoire de la Terre, quels que soient les règnes, toutes les périodes où l’humanité a cru pouvoir ou vouloir scinder, séparer ou dominer, cela s’est inscrit comme cicatrice pour tous les règnes.
L’harmonie est le chant de l’union, pas de hiérarchie, de séparation ou de division. Tous les êtres œuvrent à l’unisson, comme lorsque l’on chante, toutes les voix s’offrent et se fondent dans la grande harmonie.
L’humanité pourrait comprendre à quel point tous les règnes par leur dévotion et leur service pour honorer le beau et le bien, pour célébrer l’innommable, sont maîtres. Et ce retour vers ce qui semble redevenir société-lumière, est justement la célébration de l’union à tous les niveaux.
Vous vous souvenez, le temps simultané. Les sociétés d’harmonie sont dans l’éternel présent. Là, tout être écoute et entend le cosmos tout entier, intuitivement, simplement. Et dans cet infini respect, tous les êtres offrent leur énergie, se déplacent comme une danse. Tous les règnes s’unissent.
Connaissez-vous l’infinie amitié et l’infinie tendresse qui règnent entre le peuple animal et le peuple des élémentaux, la beauté de cette amitié, la beauté du respect. Chaque règne a ses codes, ses modes de fonctionnement que les autres règnes respectent et honorent. Cela ne prend que d’être écoute, s’incliner et se taire.
Si vous saviez l’étendue de la communication qui règne parmi le peuple végétal, les codes de partage entre le règne végétal et le règne animal. Si vous saviez à quel point les élémentaux veillent sur le respect de ces codes et à quel point toute cette énergie de respect mutuel, d’écoute, de communication - une communication bien plus avancée que les partages verbaux souvent limités au monde mental - toute cette communication est don d’énergie et s’offre à l’équilibre, à l’harmonie du tout.
Aucun sens de hiérarchie. Qui oserait dire qu’un grain de sable est plus ou moins évolué par rapport à quelque autre être ? Seul est le divin, n’est-ce pas ? Cette grande harmonie, cette richesse dans la communication, dans les dialogues entre les arbres, les insectes, les oiseaux, les océans, les planètes. Tout écoute tout et communique naturellement. Les animaux entendent les anges, les arbres et les élémentaux conversent.
Béni ce moment où l’humanité accepte de rentrer dans cette grande harmonie, ni plus ni moins évoluée, ni pouvoir, ni domination, ni discrimination, l’infini respect qui règne dans la fraternité du vivant. C’est ce respect qui assure le niveau de pureté absolue. L'énergie émise par les êtres empreints d’un tel respect, d’une telle noblesse, purifie les éléments, purifie la matière.
Connaissez-vous la puissance des sentiments les plus fins ? A l'heure où certains croient nécessaire d’avoir des technologies pour dépolluer, la plus précieuse aide pour dépolluer est d’offrir les sentiments les plus fins, d’offrir l’infini respect et d’être cette écoute pleinement ouverte qui écoute tout intuitivement sans qu’il ne soit nécessaire de faire l’effort de tendre son énergie. Intuitivement l’on entre dans la symphonie cosmique et tout est perçu. C’est bien cela un bon orchestre, n’est-ce pas ? Chaque musicien est au service et à l’écoute de tous les autres.
Ainsi naturellement dans la puissance de l’amour inhérent à ces sentiments les plus fins, tout retrouve sa pureté, son intégrité. C’est bien cela l’énergie de l’absolu. Même les niveaux les plus fins sont transcendés, plus d’information ou de fréquences, seul l’infini du silence-amour contenant en lui le murmure le plus fin, avant même la fréquence, et pourtant l’information parfaite de la perfection.
Cela peut être encapsulé dans la matière, cela est omniprésent dans l’univers. Tous les plans et tous les règnes honorent et tirent profit de cela.
Ainsi lorsque semble s’ouvrir une année nouvelle, que cette année peut-être bénie sous le sceau de l’ouverture, tous les règnes célèbrent. Tous les règnes servent, honorent et visent à préserver l’harmonie. Et l’harmonie, qui est infiniment plus que l’absence de disharmonie, est ce chant, cette symphonie de la création où chaque voix, chaque instrument est au service du tout. C’est ce comportement qui doit être l’absolu de tous ceux et toutes celles qui s’offrent au service de l’ouverture.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 29-12-21
Il est fondamental que les graines de lumière réalisent, nul n'est spécial.
Les graines de lumière doivent le savoir, il ne s'agit pas d'âmes spéciales qui seraient venues s'incarner pour aider, il s'agit d'âmes conscientes qui savent que chaque âme est unique et lumière. Ces âmes-là, simplement, osent le proclamer. Ainsi, nul n'est jamais perdu. Nul n'a jamais de timidité pour se différencier.
Chaque âme est la totalité du divin. Aucune n'est spéciale et chacune est unique, chacune est multidimensionnelle. Certaines vivent cela avec plus de conscience ou de clarté et savent qu'en cela il n'y a que la dévotion à la vie. Chaque être est multidimensionnel. Chaque être est pur jaillissement et pure lumière. Chaque être écrit le livre de la vie, pur miroir du visage du Sans-visage. C'est cela qu'il faut inscrire au cœur des cellules. Chaque être est multidimensionnel, chaque être est cosmique, seule est la lumière.
Ainsi émerge une société dont la seule loi est la loi naturelle écrite spontanément sur la base de l'infini respect, cette clarté qui permet d'avoir la vision vaste. Tout est pris en considération, chaque parcelle de vie, chaque brin de création est honoré et perçu dans le contexte du tout. Ainsi rien n'est entravé.
A l'heure où les prémisses de la société nouvelle peuvent se faire entendre, il est fondamental que les graines de lumière réalisent, nul n'est spécial. Chaque être est divin, multidimensionnel, cosmique. Tout est possible pour chacun. L'heure est venue de le clamer, de le proclamer et de le réclamer pour soi.
Lorsque la base est l'infini respect et l'infinie écoute, la loi se déroule spontanément sur la base de l'harmonie totale. Cette conscience de clarté imprègne la structure du cosmos, tous les règnes, tous les espaces, toutes les planètes et les galaxies.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-12-21
La seule victoire est de sortir de l'illusion.
Voyez à quel point cette attention à s'extraire du jugement remet le puzzle à sa place. Naturellement tout se réunifie, rien n'a besoin d'être occulté. Il est beau et honorable que tout soit perçu et honoré en son nom propre et au nom du collectif de l'humanité.
C'est ainsi que peut jaillir ce qui semble être une société nouvelle. Cela ne peut être dans la sphère de la dualité entre ombre et lumière. On pourrait même affirmer qu'il importe peu que cette lumière duelle triomphe. La seule victoire est de sortir de l'illusion et de s'établir, de s'identifier à cette lumière qui est ce que Je Suis et qui est la source de tous les événements.
S'il est dilemme ou difficulté, cela ne peut venir d'un jeu de force entre la lumière et l'ombre. Cela ne peut que venir de l'attention décalée. Je ne suis pas un être lumineux opposé à des êtres sombres, Je Suis l'éternelle lumière, celle qui est au-delà du duel. S'il est dilemme ou difficulté, cela ne repose que sur cet oubli. Car l'incarnation, n'est-ce pas, a à voir avec se rappeler et imprimer cette mémoire au cœur de la matière.
Ainsi retrouver le cadre juste, celui de la contemplation. Un an, bien des événements. Peut-être certains semblaient trébuchement ou d'autres jaillissement. L'un est inhérent à l'autre. Hors de tout jugement, contempler. Retirer les perles de sève du cœur des événements pour les placer sur le fil de l'éternel et en faire un mala.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-12-21
Faire une autre lecture de l'année.
En conscience, recueillir la sève des sentiments. Avoir cette vision qui se souvient plus des sentiments que des événements car les sentiments sont la sève des événements.
Peut-être pour certains enfermés dans la linéarité ou dans des boîtes - vous savez ces boîtes des accomplissements, des réalisations, des croyances - certains événements ont pu sembler inauspicieux. Heureux ceux et celles qui prennent le temps de regarder les sentiments générés par ces événements, peut-être un corps en apparence malade qui sait privilégier l'infini de l'amour exprimé de par cette circonstance, en dons de tendresse ou de joie...
Faire une autre lecture du déroulement de l'année, non en termes d'événements, de contrariété ou de plaisir, en termes du nectar de tendresse, de joie, d'autodépassement, de générosité. Car l'humanité a vu maintes et maintes fois que des circonstances qui semblent adverses ouvrent à une autre richesse relationnelle. Cela est le trésor.
Faire une autre lecture de l'année qui se termine. Qu'est-ce qui a pu être intégré, compris, non de cette compréhension intellectuelle ou mentale mais de cette union entre le cœur, l'intellect et ses réalisations ? En quoi chaque être et toute l'humanité se sont-ils enrichis ?
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-12-21
Au nom de l'humanité, déposer l'addiction au jugement.
Avoir l'audace de couper les liens qui relient aux habitudes périmées. Beaucoup savent et pourtant restent dans les rails des habitudes. Savoir ne mène à rien. C'est l'amour uni à la clarté qui permet de connaître, car connaître est fait du cœur et donc d'incarner. Encore faut-il avoir l'audace de sortir des rails des habitudes.
L'attention reste rivée sur le jaillissement d'autres modes de fonctionnement qui ouvrent à d'autres canaux de circulation de l'énergie cérébrale, de l'énergie du corps, de l'énergie physique permettant d'incarner la nouvelle humanité. L'attention reste sur le jaillissement.
Il suffit d'avoir la clarté déterminée d'amener en conscience les rails des habitudes pour sortir les pieds des rails et vivre autrement. L'habitude qui crée le plus d'esclavage est celle du jugement. Le jaillissement de la société nouvelle est déterminé par ce fait de poser en conscience les habitudes du jugement, des faux savoirs. S'ouvrir à cette énergie éternellement nouvelle. On ne peut décrire la société nouvelle. On ne peut dire d'elle qu'elle est régie uniquement par le cœur. On ne peut que dire d'elle qu'elle est régie par l'infini respect et l'innocence du regard qui est sorti des rails des habitudes des jugements pour regarder, accueillir, écouter, entendre, l'éternellement neuf.
Pour l'émergence de la société nouvelle, il n'est besoin d'aucun concept, simplement de ce choix clair et conscient de quitter les rails des habitudes qui font que les êtres humains tournent en rond dans des cages autocréées.
Ils peuvent dire que d'autres ont fermé la porte de la cage. Ce n'est qu'un leurre. Chacun tisse ou détisse sa cage selon son choix. Pas besoin d'attendre, pas besoin de considérer même l'effondrement car l'énergie est tout offerte à la création de cette société nouvelle. Chacun la crée pleinement. Il est vrai, son chant est le chant de l'union, de l'harmonie, le partage de fraternité et pourtant simultanément, chacun la crée pleinement, indépendamment, puisque chaque être crée sa création pleinement.
La clef permettant d'ouvrir la porte de la cage est d'accepter de déposer les comportements addictifs, les addictions aux habitudes. La plus grande addiction est l'addiction aux jugements. Croire savoir mieux que l'autre, ou croire poser un véto rigide ou une image fixe. Pourtant l'autre n'est que la vibration de ce qu'on émet soi-même.
Créer la société nouvelle sans aucun autre fondement que ce choix conscient de mettre ses pas dans l'éternel nouveau, hors des rails des habitudes, des addictions ou des compulsions. Ainsi chaque être s'expose pleinement, révélant son élan créatif, révélant sa tendresse, innovant. C'est cette attitude qui initie les plus belles rencontres d'énergie, les plus belles collaborations.
Ainsi, dans ce moment qui est charnière entre une année qui semble se terminer et une autre qui semble s'ouvrir, déposer l'addiction au jugement. La déposer au nom de l'humanité et poser le regard neuf, le regard d'émerveillement, depuis l'écoute de la vibration la plus fine. Le nom est la vibration la plus fine.
Il ne faudrait pas confondre une société améliorée avec la société nouvelle. Améliorer ne serait que rester dans les rails des habitudes périmées.
Tout offert au jaillissement, sans donner d'attention à l'effondrement, tout occupé à créer depuis d'autres paradigmes, une autre intensité de simplicité. Beaucoup pourraient croire être perdus sans les références anciennes, les repères préétablis. C'est justement lorsqu'on est perdu que l'on se trouve. Il faut bien oser s'élancer dans l'éternellement neuf pour que soit quittée l'illusion de l'ancien.
Il ne s'agit pas d'un monde amélioré mais d'une société nouvelle, éternellement ancienne et pourtant nouvelle. Il est des rois ou des sages qui ont, dans l'histoire de l'humanité, posé le sceau de telles sociétés. Il est des fraternités dans d'autres planètes, d'autres espaces, qui impriment dans l'aura de la Terre le modèle de ces sociétés. Pour que l'humanité puisse accueillir cela, il convient de sortir des rails des habitudes périmées, simplement en choisissant à chaque moment le choix conscient. Non un choix dans l'abstrait suivi d'actes régis par les habitudes ou des compulsions. Le choix de trancher, de parler, de penser, d'agir, de ressentir, dans la plus grande simplicité, avec pour seul critère être pleinement authentique à soi. A soi, non aux carcans ou aux pantins de ce que l'on a cru être soi, mais soi, ce jaillissement d'unicité, ce nom, cette vibration. De ce jaillissement, s'effectue la rencontre car le jaillissement invite au jaillissement.
C'est ainsi que sont faites les architectures des temples de lumière. Chaque être est un pilier. De par le jaillissement de chaque être, les autres font jaillir leur propre énergie. Les énergies se rencontrent et créent une structure. Ainsi sont érigés les temples et les lieux de rencontre. Vous le savez, hormis dans la troisième dimension, la création est simultanée à l'intention, manifestation, précipitation.
S'il est une clef à offrir à l'humanité dans ce qui semble être cette transition, c'est celle de l'authenticité. Ne s'arrêter nulle part, si ce n'est au jaillissement infini de soi. Laisser les critères des modes périmés. Le plus périmé et peut-être le plus compulsif est le jugement.
Ne pas attendre, incarner. La transition ne se place pas dans la linéarité du temps. Elle est le tremplin pour sortir de la linéarité et s'établir dans la simultanéité. Elle est le tremplin de la création.
La création a sa source dans l'intensité d'attention offerte à une intention, depuis la plénitude de l'amour. S'il en est qui souhaitent que l'année qui s'ouvre voit s'instaurer la société nouvelle, puissent-ils se souvenir que la création est le don de l'intensité d'attention offerte à une intention, depuis la plénitude de l'amour. Cela en soi suffit pour que jaillisse la création.
Il est vrai, la fraternité lumineuse est prête à faire bien des dons permettant de restaurer, de régénérer. Le plus beau des dons est ce rappel que chaque être est créateur de sa création et que la création jaillit de l'intensité d'attention offerte à une intention, depuis la plénitude de l'amour. Non l'amour sentiment. L'amour structure, nature, cet amour qui est la source de l'émergence et l'aboutissement de chaque souffle, de chaque parcelle de fini.
Ne considérez pas les mondes du duel. Ne vous sentez pas concernés par le lumineux ou le sombre. Il n'est ni lumineux ni sombre pour celui ou celle qui est établi dans la pure lumière. Les jeux du duel appartiennent à ceux qui aiment les jouer. Il est un jeu bien plus simple, bien plus puissant, bien plus réel, la source de tous les jeux "Je Suis l'éternelle lumière, restaure la perfection que Je Suis, rétablis l'harmonie que Je Suis". Non que je désire être, que Je Suis. C'est cela l'authenticité.
A travers ce qui semble être une transition, une année qui semble se terminer, une autre qui s'ouvre, célébrer l'éternel.