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Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron  le 23-8-24 

L’histoire de l’humanité a une base erronée. 

Dans le silence, est inscrite la mémoire de l’humain divin. L’humanité a fait son histoire à partir d’une base erronée. L’histoire qui soi-disant est l’histoire pour l’humanité, occulte totalement ces périodes de simple gloire de l’humanité. La beauté des civilisations de lumière. C’est cela qui peut être le standard et la norme. On est bien loin alors d’une humanité un peu améliorée qui semble porter des limites comme l’inévitable. La seule limite est celle que le mental impose.

L’humain divin. Ne jamais s’arrêter nulle part. Ne pas se contenter d’une moyenne améliorée. Oser s’élancer pour porter la vision de l’humanité à travers son incarnation. Et la vision de l’humanité est la vision du divin incarné. Cela passe par le « tout est possible » concrètement. Tout est possible, non pas par une volonté individuelle qui voudrait s’amuser à être magicien. Tout est possible comme dans le temple, par hommage au Divin, on laisse la vie se déployer. Et la vie déployée a des normes totalement autres que les normes des sociétés qui acceptent la notion des limites. Ce qui régit ce jaillissement et cet autodépassement, c’est la puissance de l’univers. Car un être osant actualiser le déploiement est en parfaite harmonie avec l’univers.

L’harmonie parfaite, comprenez-le, est au diapason de l’infini. La beauté et la puissance de l’être humain, sont au diapason de l’infini. La réalité du cœur ouvert est ce cœur qui bat en unisson avec le cœur cosmique. De ce cœur, jaillit le corps de lumière qui n’est jamais figé, qui éternellement jaillit et se fond au cœur du silence, dans chaque cellule. Le rythme de ce jaillissement est le chant de dévotion.

Lorsqu’il vous est dit que l’être humain ne connaît pas l’intense, cela est une invitation à l’autodépassement éternel, une invitation à embrasser la vie, non depuis l’individualité mais depuis cette individualisation qui s’est totalement inclinée devant l’Être cosmique. S’incliner c’est l’incarner.

Le mental ne peut saisir ce qu’est l’intense. Il peut tendre vers toujours plus d’intense et cela est beau, et simultanément il sait qu’il est une autre valeur, une autre dimension, un autre critère, régissant les lois de la vie intense, une intensité de simplicité, une intensité de présence qui par son intensité même embrase la flamme.

Ne prendre comme modèle que le divin. Les standards humains, vous le savez, sont ceux des sous-humains. Il y a l’humain divin et l’humain tendant vers l’animal. Pour l’humain dont l’inspiration est de s’élever pour réaliser l’humain divin, il convient de sortir complétement des critères qui tendent vers l’animalité. Retrouver la maîtrise. Être à l’écoute très fine de la perfection dans chaque phase de la vie, sans faire aucun compromis, à aucun niveau.

Bien sûr, il y a la multidimensionnalité, et l’aspect tridimensionnel peut se sentir façonné de mémoires ou de croyances. Éternellement offrir ces mémoires et ces croyances à sa propre divinité et trancher. Trancher les fils des normes, quelles qu’elles soient, pour embrasser les normes de la vie humaine divine. Trancher dans sa relation avec son corps, avec tous les aspects de soi. Trancher même dans la relation avec la société, sans se laisser aveugler par les règles de la trame, et sans se rebeller. Être créateur et c’est tout, à l’écoute de sa perfection. Être créateur avec vigueur comme celui ou celle qui restaure des chemins qui ont toujours étaient là et qui ont été couverts des broussailles. Couper les broussailles pour que la voie apparaisse claire, droite.

La voie est la voie sans voie. Car vous le savez, cette voie n’est pas régie par le devenir, elle est régie par le diapason juste, ce diapason qui vibre à l’unisson de la perfection. Ainsi, sans se baser sur quelque devenir, éternellement par passion et par dévotion, l’être ajuste sa fréquence.

Chaque moment est moment de choix conscient. Le choix, vous l’avez compris, est entre l’ouverture de l’humain divin et les légères améliorations de la trame, peut-être un peu moins enfermé, peut-être un peu plus libéré. Pourtant l’humain divin est à un diapason totalement différent. Une force de vitalité, de vigueur, fait que la fréquence s’élève éternellement et quitte irrémédiablement les voies des soi-disant modérés, des soi-disant tempérés, de ceux qui n’ont pas compris qu’il ne s’agit pas d’améliorer la société, la Terre ou le monde, mais de la transfigurer dans la puissance de l’échelle de la divinité.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 23-8-24  

Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset. 

La fraternité l’a toujours dit, elle marche dans la joie d’accompagner. Leur regard, leur vie, est la norme. L’humanité l’a toujours su, les maîtres l’ont toujours dit, alors qu’attend-elle ? Il ne s’agit pas d’améliorer, il s’agit de transfigurer. La vie divine a des critères totalement autres, à découvrir, à écouter, à entendre, comme on découvre un bébé divin.

Il faudrait que l’humanité ose enterrer son histoire, qu’elle soit celle des sociétés ou des individus, pour écouter, embrasser, honorer la seule histoire, celle du Divin. Cela veut dire effacer les modes préétablis. Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.

La base, vous l’avez compris, encore et toujours est d’intensifier la présence, de prendre comme bâton de marche, la splendeur de son essence, en la découvrant éternellement de nouveau, tout comme l’on découvre la beauté d’un bébé nouveau-né.

Ne pas s’enfermer. Ne pas enfermer l’innocence de l’essence, dans le fait de croire savoir. L’on ne sait jamais. L’on ne connaît jamais. L’on est l’insaisissable qui toujours s’autodépasse. L’on ne connaît jamais et pourtant on suit cette image si claire de la divinité, parce qu’au-delà de savoir ou de connaître, l’humanité entend dans le battement de son propre cœur, le cœur cosmique de l’humain divin, ce cœur qui résonne au même rythme que celui des Elohims, du Grand Créateur, des Êtres cosmiques, parce que seul est Cela.

Le mental ne peut appréhender. En intensifiant la présence, l’on choisit d’enterrer le monde mental pour embrasser la vie divine. Cela ne peut se faire selon des critères mentaux.

La base reste d’intensifier la présence encore et toujours. Accepter d’être écoute, écoute de la beauté. La solliciter partout. La rencontrer partout, cette beauté qui transcende la dualité. Le moteur est la passion d’être le dévot, la dévote, car la maîtrise a sa base dans la dévotion, cette dévotion qui est l’incarnation. Non un sentiment, l’incarnation.

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 19-10-24

Lorsque l’orage éclate. 

Ne jamais s’arrêter. Aller toujours au-delà de soi et noter les bénédictions… Les addictions de l’humanité aux histoires de drames fait que trop souvent on ne regarde plus que ce qui semble ne pas aller, ce qui semble être chamboulé… Noter toutes les bénédictions petites ou grandes qui, même au sein de ces énergies chamboulées, sont des clins d’œil de la lumière.

Lorsque l’orage éclate et que les éclairs fusent, les éclairs éclairent des espaces de pure beauté. Lorsqu’un orage est là, certains ne pensent qu’à se préserver du tonnerre ou se protéger des éclairs, d’autres en profitent pour regarder la beauté révélée par l’orage. Avoir cette attitude en soi adoucit magnifiquement l’impact des coups de tonnerre.

Ne pas se soucier d’être chahuté, regarder la beauté. Et ce regard posé sur la beauté adoucit l’énergie chahutée et la transforme en ferment…

Souvenez-vous, plus l’orage semble puissant, plus l’on porte son attention sur la beauté révélée par l’orage. Et cette beauté est intense à la hauteur de l’orage. Bien sûr si l’on choisit de ne mettre son attention que sur le tonnerre qui claque et les éclairs qui aveuglent, l’on ne voit plus la beauté. Pourtant elle est là. Notez-la, notez tous ces petits progrès entre deux éclairs. Notez ce qui s’éclaire, ce qui s’illumine. Il y a toujours de la beauté révélée, intensifiée.

L’invitation pour l’humanité est de changer son regard. Le tonnerre et les éclairs ne sont qu’une partie. La beauté révélée est une autre partie. A ne regarder que les éclairs et le tonnerre, l’on ne perçoit plus la beauté. A regarder la beauté, l’on adoucit beaucoup l’impact des éclairs et du tonnerre. A chacun de choisir.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 5-8-24  

Tous les états de la Terre sont là maintenant. 

Elle n’est pas loin, la Terre lumière. Elle est là, maintenant. Il suffit de choisir de s’harmoniser, comme lorsque l’on prend un instrument, il suffit de choisir d’harmoniser sa voix à l’instrument.

La beauté, ce qu’il faudrait que tous comprennent, est que cette magnifique aspiration à ramener la Terre à l’état de Terre lumière, ne s’inscrit pas dans le devenir mais dans le choix conscient de chaque être qui, rassemblant son énergie, amène sa fréquence, de par la multidimensionnalité, à l’état éternel de la Terre lumière. C’est pour cela que pour certains la Terre semble prendre l’apparence ressemblant à quelque enfer, pour d’autres la Terre est un lieu de passage, de dur labeur, pour d’autres elle est paradis d’amour et de lumière. La même Terre, dans le même temps maintenant.

Cela ne peut qu’être comme cela, n’est-ce pas, puisque le temps est l’une des grandes illusions amenées par la tridimensionnalité. Ceux qui sortent de la tridimensionnalité le savent instantanément, le temps est le temps simultané. Tous les états de la Terre, tout ce qui a pu paraître des périodes de vie, sont là maintenant. C’est maintenant que l’Ami marche sur les routes des hommes. Qui vient le rencontrer ? Le rencontrer c’est prendre son grabat et marcher à ses côtés. Marcher à ses côtés c’est harmoniser sa fréquence. Harmoniser sa fréquence, c’est intensifier la présence. Voyez la beauté.

Elle est magnifique l’harmonie générée par un groupe qui fait le choix d’être lumière. Le choix, vous le savez, ne peut être ni mental ni égotique ni même partir de la sphère des émotions. Le choix est le choix d’intensifier la présence puisque la présence est le Divin, que la présence est cet état d’être qui est l’ouverture, qui est le cœur, qui est la vie. Intensifier la présence par la présence au souffle. Garder cela présent dans le cœur… Le cœur est le soleil qui illumine la Terre toujours.

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