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Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 31-1-25 

La réalité concrète de la Terre lumière. 

Elle est concrète la réalité de la Terre lumière. Gaïa le sait et célèbre. Célébrer la lumière en affirmant que seule est la lumière. Et en offrant l’attention, le rayonnement, l’amour, à la réalité de la Terre lumière, ainsi on contribue à la précipiter. S’unir à Gaïa, cet être de lumière, de tendresse et de joie, pour affirmer et précipiter cette réalité concrète de la Terre lumière.

Voyez, il suffit de changer de regard, de positionnement, et naturellement la réalité s’ajuste au positionnement de façon très réelle. Ce n’est pas qu’un état de la Terre devient l’autre état. Tout est présent simultanément, qu’anime le collectif humain par son attention. Oser être, créer, générer un collectif plus puissant que celui de la masse inerte, se doit d’être simple de par la puissance de l’attention éveillée qui connaît l’art de la précipitation, de la manifestation. C’est de par cette puissance de rayonnement, qu’il suffit en fait d’un nombre plutôt restreint d’êtres qui choisissent d’honorer la Terre lumière au point de ne voir que cela, de ne mettre son attention que sur cela. Il suffit d’un nombre restreint pour que l’apparence au niveau tridimensionnel bascule elle aussi, et que la Terre retrouve son éternité de beauté pure d’un jardin céleste.

Honorer cette beauté d’un jardin céleste n’est pas par quelque égoïsme, parce qu’on préfère que la Terre soit comme cela pour soi, c’est pour la Terre, n’est-ce pas, que l’on porte la vision. Parce que la Terre Gaïa est cet être magnifique, merveilleusement généreux, cet être de pure beauté qui a accepté de suffoquer et d’être malmené par amour infini pour le libre arbitre. Ainsi en hommage à cet amour, on choisit de ramener ce regard où seule est la beauté, ce regard qui embrasse la splendeur et la précipite dans toute forme de vie.

Invoquer la splendeur, la pure beauté, en faisant le choix clair et conscient de la précipiter par cette attention qui ne sait admettre que cela. Ne pas se perdre dans cette divagation du mental galopant qui s’accroche à des apparences, ainsi les nourrissant. Faire le choix clair et conscient de servir la beauté, la simplicité.

Précipiter. Tous les ingrédients sont là réunis, l’union de l’intention et de l’attention, la pure présence, le souffle de Sat-Chit-Ananda. Il convient que l’attention soit pleine, sans aucune faille. Il convient que la présence soit d’une intensité extrême, sans aucune faille. Cela a sa source dans la gaieté, dans l’aise, dans la présence à la beauté, à la splendeur. Il est magnifique, n’est-ce pas, d’établir sa vie dans un bain de splendeur.

C’est l’attention qui crée cela, et l’humanité le sait. Alors pourquoi s’égare-t-elle dans l’attention sur des mirages qui sont véhiculés par des apprentis magiciens ? Pourquoi l’humanité fait-elle ce choix ? Par laxisme peut-être. C’est plus facile d’être laxiste, et tellement moins simple. L’attention donne vie et Gaia est pleinement au service de cela, et au service de ceux et celles qui choisissent, qui choisissent vraiment de servir la beauté, la splendeur de la vie. Un choix clair et conscient qui implique de rassembler l’énergie à l’extrême, qui implique la pure présence, qui implique de n’admettre qu’une seule vision, celle que chaque être choisit de créer.

Et pourquoi ne choisirait-on pas de créer le beau, le noble, le simple ? Alors oui, peut-être, les apparences… Les apparences qui semblent montrer un autre visage, les apparences précipitées par le corps de souffrance, et l’on peut se dire « mais cela est réel ». Qu’est-ce qui est réel ? Tout et rien. La seule réalité est l’immuable silence. La seule réalité est celle précipitée depuis l’immuable silence par cette attention offerte à l’intention, par cette vision.

Les apparences peuvent disparaître en un tour de main lorsqu’un nombre suffisant choisit d’arrêter de les nourrir de leur attention. Cela n’est pas depuis un état de distraction. Les distractions n’amènent que l’énergie dissipée. L’énergie dissipée n’a pas la puissance de la création. Car il s’agit de créer la Terre lumière. Précipiter c’est créer, c’est manifester sur un plan concret ce qui est présent dans le non manifesté, présent dans le plan originel. On prend le plan originel et on le précipite.

Alors beaucoup attendent peut-être que les autres commencent. Mais qui sont les autres ? Il n’y a que le Un, n’est-ce pas ? Le Tout, la vie. Et la simple beauté, la simple bonté, est inhérente à la vie, n’est-ce pas ? Et comprenez-le bien, l’on ne peut pas à la fois offrir toute son attention et toute son intention à la précipitation de la Terre lumière, et d’un coin de l’esprit conscient, d’un coin du regard, nourrir des apparences qui semblent contradictoires à la vision que l’on a l’intention de précipiter, parce que cela c’est disperser l’attention, n’est-ce pas ? Et que la précipitation n’est jamais le résultat d’une attention dispersée...

La précipitation, l’on pourrait dire que c’est une injonction, lorsque l’énergie est ressemblée avec une intensité extrême, que l’attention est tout offerte, que la présence est totale. Alors la vision est précipitation instantanément. 

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