Messages de la dimension de Lumière
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
L’histoire de l’humanité a une base erronée.
Dans le silence, est inscrite la mémoire de l’humain divin. L’humanité a fait son histoire à partir d’une base erronée. L’histoire qui soi-disant est l’histoire pour l’humanité, occulte totalement ces périodes de simple gloire de l’humanité. La beauté des civilisations de lumière. C’est cela qui peut être le standard et la norme. On est bien loin alors d’une humanité un peu améliorée qui semble porter des limites comme l’inévitable. La seule limite est celle que le mental impose.
L’humain divin. Ne jamais s’arrêter nulle part. Ne pas se contenter d’une moyenne améliorée. Oser s’élancer pour porter la vision de l’humanité à travers son incarnation. Et la vision de l’humanité est la vision du divin incarné. Cela passe par le « tout est possible » concrètement. Tout est possible, non pas par une volonté individuelle qui voudrait s’amuser à être magicien. Tout est possible comme dans le temple, par hommage au Divin, on laisse la vie se déployer. Et la vie déployée a des normes totalement autres que les normes des sociétés qui acceptent la notion des limites. Ce qui régit ce jaillissement et cet autodépassement, c’est la puissance de l’univers. Car un être osant actualiser le déploiement est en parfaite harmonie avec l’univers.
L’harmonie parfaite, comprenez-le, est au diapason de l’infini. La beauté et la puissance de l’être humain, sont au diapason de l’infini. La réalité du cœur ouvert est ce cœur qui bat en unisson avec le cœur cosmique. De ce cœur, jaillit le corps de lumière qui n’est jamais figé, qui éternellement jaillit et se fond au cœur du silence, dans chaque cellule. Le rythme de ce jaillissement est le chant de dévotion.
Lorsqu’il vous est dit que l’être humain ne connaît pas l’intense, cela est une invitation à l’autodépassement éternel, une invitation à embrasser la vie, non depuis l’individualité mais depuis cette individualisation qui s’est totalement inclinée devant l’Être cosmique. S’incliner c’est l’incarner.
Le mental ne peut saisir ce qu’est l’intense. Il peut tendre vers toujours plus d’intense et cela est beau, et simultanément il sait qu’il est une autre valeur, une autre dimension, un autre critère, régissant les lois de la vie intense, une intensité de simplicité, une intensité de présence qui par son intensité même embrase la flamme.
Ne prendre comme modèle que le divin. Les standards humains, vous le savez, sont ceux des sous-humains. Il y a l’humain divin et l’humain tendant vers l’animal. Pour l’humain dont l’inspiration est de s’élever pour réaliser l’humain divin, il convient de sortir complétement des critères qui tendent vers l’animalité. Retrouver la maîtrise. Être à l’écoute très fine de la perfection dans chaque phase de la vie, sans faire aucun compromis, à aucun niveau.
Bien sûr, il y a la multidimensionnalité, et l’aspect tridimensionnel peut se sentir façonné de mémoires ou de croyances. Éternellement offrir ces mémoires et ces croyances à sa propre divinité et trancher. Trancher les fils des normes, quelles qu’elles soient, pour embrasser les normes de la vie humaine divine. Trancher dans sa relation avec son corps, avec tous les aspects de soi. Trancher même dans la relation avec la société, sans se laisser aveugler par les règles de la trame, et sans se rebeller. Être créateur et c’est tout, à l’écoute de sa perfection. Être créateur avec vigueur comme celui ou celle qui restaure des chemins qui ont toujours étaient là et qui ont été couverts des broussailles. Couper les broussailles pour que la voie apparaisse claire, droite.
La voie est la voie sans voie. Car vous le savez, cette voie n’est pas régie par le devenir, elle est régie par le diapason juste, ce diapason qui vibre à l’unisson de la perfection. Ainsi, sans se baser sur quelque devenir, éternellement par passion et par dévotion, l’être ajuste sa fréquence.
Chaque moment est moment de choix conscient. Le choix, vous l’avez compris, est entre l’ouverture de l’humain divin et les légères améliorations de la trame, peut-être un peu moins enfermé, peut-être un peu plus libéré. Pourtant l’humain divin est à un diapason totalement différent. Une force de vitalité, de vigueur, fait que la fréquence s’élève éternellement et quitte irrémédiablement les voies des soi-disant modérés, des soi-disant tempérés, de ceux qui n’ont pas compris qu’il ne s’agit pas d’améliorer la société, la Terre ou le monde, mais de la transfigurer dans la puissance de l’échelle de la divinité.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.
La fraternité l’a toujours dit, elle marche dans la joie d’accompagner. Leur regard, leur vie, est la norme. L’humanité l’a toujours su, les maîtres l’ont toujours dit, alors qu’attend-elle ? Il ne s’agit pas d’améliorer, il s’agit de transfigurer. La vie divine a des critères totalement autres, à découvrir, à écouter, à entendre, comme on découvre un bébé divin.
Il faudrait que l’humanité ose enterrer son histoire, qu’elle soit celle des sociétés ou des individus, pour écouter, embrasser, honorer la seule histoire, celle du Divin. Cela veut dire effacer les modes préétablis. Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.
La base, vous l’avez compris, encore et toujours est d’intensifier la présence, de prendre comme bâton de marche, la splendeur de son essence, en la découvrant éternellement de nouveau, tout comme l’on découvre la beauté d’un bébé nouveau-né.
Ne pas s’enfermer. Ne pas enfermer l’innocence de l’essence, dans le fait de croire savoir. L’on ne sait jamais. L’on ne connaît jamais. L’on est l’insaisissable qui toujours s’autodépasse. L’on ne connaît jamais et pourtant on suit cette image si claire de la divinité, parce qu’au-delà de savoir ou de connaître, l’humanité entend dans le battement de son propre cœur, le cœur cosmique de l’humain divin, ce cœur qui résonne au même rythme que celui des Elohims, du Grand Créateur, des Êtres cosmiques, parce que seul est Cela.
Le mental ne peut appréhender. En intensifiant la présence, l’on choisit d’enterrer le monde mental pour embrasser la vie divine. Cela ne peut se faire selon des critères mentaux.
La base reste d’intensifier la présence encore et toujours. Accepter d’être écoute, écoute de la beauté. La solliciter partout. La rencontrer partout, cette beauté qui transcende la dualité. Le moteur est la passion d’être le dévot, la dévote, car la maîtrise a sa base dans la dévotion, cette dévotion qui est l’incarnation. Non un sentiment, l’incarnation.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Tous les états de la Terre sont là maintenant.
Elle n’est pas loin, la Terre lumière. Elle est là, maintenant. Il suffit de choisir de s’harmoniser, comme lorsque l’on prend un instrument, il suffit de choisir d’harmoniser sa voix à l’instrument.
La beauté, ce qu’il faudrait que tous comprennent, est que cette magnifique aspiration à ramener la Terre à l’état de Terre lumière, ne s’inscrit pas dans le devenir mais dans le choix conscient de chaque être qui, rassemblant son énergie, amène sa fréquence, de par la multidimensionnalité, à l’état éternel de la Terre lumière. C’est pour cela que pour certains la Terre semble prendre l’apparence ressemblant à quelque enfer, pour d’autres la Terre est un lieu de passage, de dur labeur, pour d’autres elle est paradis d’amour et de lumière. La même Terre, dans le même temps maintenant.
Cela ne peut qu’être comme cela, n’est-ce pas, puisque le temps est l’une des grandes illusions amenées par la tridimensionnalité. Ceux qui sortent de la tridimensionnalité le savent instantanément, le temps est le temps simultané. Tous les états de la Terre, tout ce qui a pu paraître des périodes de vie, sont là maintenant. C’est maintenant que l’Ami marche sur les routes des hommes. Qui vient le rencontrer ? Le rencontrer c’est prendre son grabat et marcher à ses côtés. Marcher à ses côtés c’est harmoniser sa fréquence. Harmoniser sa fréquence, c’est intensifier la présence. Voyez la beauté.
Elle est magnifique l’harmonie générée par un groupe qui fait le choix d’être lumière. Le choix, vous le savez, ne peut être ni mental ni égotique ni même partir de la sphère des émotions. Le choix est le choix d’intensifier la présence puisque la présence est le Divin, que la présence est cet état d’être qui est l’ouverture, qui est le cœur, qui est la vie. Intensifier la présence par la présence au souffle. Garder cela présent dans le cœur… Le cœur est le soleil qui illumine la Terre toujours.
Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron
Lorsque l’orage éclate.
Ne jamais s’arrêter. Aller toujours au-delà de soi et noter les bénédictions… Les addictions de l’humanité aux histoires de drames fait que trop souvent on ne regarde plus que ce qui semble ne pas aller, ce qui semble être chamboulé… Noter toutes les bénédictions petites ou grandes qui, même au sein de ces énergies chamboulées, sont des clins d’œil de la lumière.
Lorsque l’orage éclate et que les éclairs fusent, les éclairs éclairent des espaces de pure beauté. Lorsqu’un orage est là, certains ne pensent qu’à se préserver du tonnerre ou se protéger des éclairs, d’autres en profitent pour regarder la beauté révélée par l’orage. Avoir cette attitude en soi adoucit magnifiquement l’impact des coups de tonnerre.
Ne pas se soucier d’être chahuté, regarder la beauté. Et ce regard posé sur la beauté adoucit l’énergie chahutée et la transforme en ferment…
Souvenez-vous, plus l’orage semble puissant, plus l’on porte son attention sur la beauté révélée par l’orage. Et cette beauté est intense à la hauteur de l’orage. Bien sûr si l’on choisit de ne mettre son attention que sur le tonnerre qui claque et les éclairs qui aveuglent, l’on ne voit plus la beauté. Pourtant elle est là. Notez-la, notez tous ces petits progrès entre deux éclairs. Notez ce qui s’éclaire, ce qui s’illumine. Il y a toujours de la beauté révélée, intensifiée.
L’invitation pour l’humanité est de changer son regard. Le tonnerre et les éclairs ne sont qu’une partie. La beauté révélée est une autre partie. A ne regarder que les éclairs et le tonnerre, l’on ne perçoit plus la beauté. A regarder la beauté, l’on adoucit beaucoup l’impact des éclairs et du tonnerre. A chacun de choisir.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite mais comme une sphère.
Nous ne parlons pas en termes de ligne droite mais d’une boucle. Les chakras souterrains sont unis à la boucle. Rien n’est linéaire, tout est cercle.
Il est plus précis de ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite qui s’élance jusqu’au ciel, ou même de visualiser le ciel comme en haut, dans une ligne verticale. Le corps humain, le corps de lumière humain, est en fait une immense sphère, des kilomètres si l’on pouvait parler en termes de distance. Et dans cette sphère, ce que l’on appelle les chakras inférieurs et qui sont sous la plante des pieds, sont en fait unis aux chakras supérieurs parce que le corps humain de lumière n’est pas régi par les critères de la troisième dimension. Donc le raisonnement linéaire de la troisième dimension ne s’applique pas au corps humain lumière. D’autres lois. Et si l’on parlait d’espace, cet espace-là est régi par le cercle et la sphère, et non la ligne droite.
Ce que le mental ne peut conceptualiser, le cœur le sait. La merveille du corps humain lumière est qu’il contient toute la création, non seulement au niveau le plus petit au cœur de chaque cellule, mais au niveau le plus infini. L’humain est divin.
Les chakras qui sont dits être sous la Terre sont superposés aux chakras qui sont dits supérieurs, distincts et superposés, comme une chaîne dont les maillons s’unissent.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Porter la vision c’est la savoir déjà réalisée.
Porter la vision. Porter la vision de la Terre d’harmonie. Porter la vision est concret. Ce n’est pas dans l’abstraction. Porter la vision a sa base et son assise dans la pleine présence. Et qu’est-ce que la pleine présence ? La pleine présence mène à un autre mode de fonctionnement. Le mental est suspendu. Le cœur est le point d’équilibre. De ce point d’équilibre, se répand la douce clarté. C’est dans le cœur, depuis le cœur et par le cœur, que la vision est portée. Elle est créée puis portée par la puissance de l’attention nourrie.
Le mental est suspendu. Il ne s’agit pas de penser au sujet d’une intention, mais d’une vision claire et concrète générée par le cœur, au sein du cœur, pour le cœur, nourrie par la douce clarté.
La vision est installée entre le cœur et le centre du front. Du centre du front, sont générés des rayons qui viennent rencontrer la vision.
Porter la vision c’est la savoir déjà réalisée. On ne porte pas la vision pour qu’elle soit réalisée, on la porte dans la certitude qu’elle est déjà réalisée. Cela est en fait l’authenticité, car c’est l’énergie de l’être qui sait dans la pleine confiance que l’intention et la vision suffisent pour la réalisation. C’est cette énergie qui génère la réalisation.
La vision est installée dans l’évidence qu’elle est déjà réalisée puisqu’il n’est que maintenant. Maintenant la graine est semée. La graine ne peut que donner des fleurs et des fruits. L’épanouissement de cette graine est instantané au moment où elle est plantée dans le sol de la douce clarté…
Le secret de la réalisation de la vision est la certitude et l’évidence que la vision n’est pas une image qui sera réalisée au cours d’un dur labeur dans un temps incertain, qu’elle est la précipitation naturelle de l’intention de l’être uni au-à la Vénérable, offert au-à la Vénérable.
La base, vous le savez, est la pleine présence, cette présence qui a des caractéristiques précises et spécifiques. L’intensité de la présence est amplifiée, et permet au cœur de redevenir le centre énergétique, le point d’équilibre énergétique qui absorbe tout. Du cœur, se répand la douce clarté, cette clarté qui est la conscience vibrante. Plus de pensée, le mental est suspendu. La physiologie est établie dans le calme serein. C’est là qu’est posée la vision comme on sème une graine, et qu’elle est portée, nourrie de l’attention maintenant.
Et peu importe s’il est des milliers de maintenant pour porter la vision, l’une des grandes caractéristiques de la civilisation d’harmonie est que l’addiction au jugement en fonction des apparences est offerte. Seule est la puissance de l’intention qui se pose dans maintenant et qui reste posée dans l’éternel de maintenant. Ainsi naturellement jaillit la précipitation de la vision. Et simultanément dans chaque point de maintenant, l’attention est offerte aux synchronicités, aux signes, à la guidance, tout en gardant l’évidence que la vision est déjà réalisée.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Il ne s’agit pas de rêver la Terre d’harmonie.
Il ne s’agit pas de rêver la Terre d’harmonie ou de créer des fantaisies mentales, mentales subtiles peut-être, mais mentales. Du mental, rien n’est créé. L’on peut s’amuser à des fantaisies, les projeter sur l’écran mental mais cet écran-là n’est visible que dans le monde mental, alors que l’intention est de projeter la vision dans l’écran du cœur et cet écran-là est visible sur tous les plans.
Vivre pleinement avec authenticité. Et toujours dans la conscience, résonne la question « qui suis-je ? ». Si je réponds que je suis le monde mental, je sais que je mens. Si je réponds que je suis le monde de mes émotions, je sais que je mens. Si je réponds que je suis le monde égotique, je sais que je mens. Bien sûr les mondes mental, émotionnel et égotique sont une partie de moi, mais je ne dirais jamais que je suis dans ma totalité mon petit doigt, n’est-ce pas ? Mon petit doigt est une partie de moi. Mon mental est une partie de moi. Mes émotions, mes ressentis, sont une partie de moi. Qui suis-je ? Dans ma totalité, qui suis-je ?
Ce que Je Suis, c’est le pilier. Ce que Je Suis est inébranlable. On ne peut l’abstraire de moi puisque c’est ce que Je Suis. Il suffit de ne plus le voiler par des fausses identifications. Ne plus le voiler est exigeant peut-être, car il est exigeant d’arrêter de mentir, mais simple, car il est simple d’être authentique à sa propre nature.
Qui suis-je ? Cet Être universel et unique, cette pure présence exprimée par mon unicité. Cela est ce que Je Suis. Et si j’écoute, cela n’est que pur bonheur, l’au-delà des ressentis du bonheur, l’au-delà des ressentis de la paix, l’au-delà de tous les ressentis, Sat-Chit-Ananda.
S’appuyer sur cette pure présence comme on s’appuie sur un roc. Et la relation s’établit car l’attention offerte à la pure présence permet à la pure présence de venir rencontrer tous les aspects de l’individualisation. Elle est riche, cette relation, et belle. Une relation d’amour, comme lorsque l’on chante pour l’être aimé. L’on ne peut chanter du bout des lèvres ou du bout du cœur. L’on chante l’amour pleinement.
L’attention à la pleine présence et le chant offert à la pleine présence de toute l’attention, c’est un don d’amour. Et en réponse, la présence, l’Être, la totalité, le Divin, vient rencontrer l’individualisation. Cette rencontre est pleine, un chant d’amour.
Alors, quel que soit le ressenti, offrez-le à la pleine présence. Quel que soit le ressenti, offrez l’attention à la pleine présence, la pleine attention, sans occulter le ressenti. Il est bienvenu, mais tout comme le petit doigt, il n’est qu’une partie de soi, non la totalité.
La pleine présence est la totalité. Elle peut rencontrer le ressenti, l’entendre et l’aimer, le conforter. Ainsi, la vie est plénitude. Alors que si, par quelque nonchalance ou quelque identification déplacée, on laisse le ressenti envahir tout l’écran, le ressenti devient bien lourd, bien encombrant, bien envahissant. Et pourquoi ? Quel est le gain, l’intérêt ou la valeur ? Aucun, n’est-ce pas ?
Le ressenti est superposé à une réalité. La réalité est neutre. On superpose un ressenti et que fait-on de ce ressenti ? On peut lui donner toute la place, le laisser envahir, il occupe tout l’écran. Ou l’on peut l’offrir à la pleine présence et laisser la pleine présence, ce que Je Suis, le rencontrer, l’entendre, l’aimer, le transmuer. C’est cela la relation juste.
Alors cette question « qui suis-je ? » et la réponse honnête et intègre, je ne peux pas dire que je suis dans ma totalité une partie de moi. Cela serait mentir, n’est-ce pas ? L’attention tout offerte à la pleine présence remet toutes les parties à leur place. Le mental se suspend et laisse la place à l’intellect le plus fin, aux modes de discernement, à la clarté. Les émotions s’apaisent et laissent place aux sentiments. L’ego laisse la place à son maître, l’infini, car l’ego tire toujours vers l’infini, n’est-ce pas ? Plus et plus et plus… alors qu’il retrouve son maître, l’infini.
Il est vrai, tout a sa place. Il ne s’agit pas d’inventer un être sans aucun ressenti ou mouvement intérieur. Ce serait faux, déplacé. Il s’agit de retrouver l’Être qui vient rencontrer les ressentis, les mouvements intérieurs, qui utilise ses fonctions de cognition, de clarté, de discernement, qui danse avec ses sentiments, qui honore l’infini à travers la transparence de son ego. Un être à part entière qui vit pleinement, pleinement. Alors peu importe, les ressentis peuvent être joyeux ou moins agréables. Quels qu’ils soient, ils sont rencontrés dans le même amour et la même présence car Je Suis la pleine présence et Je Suis l’Être que Je Suis.
Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron
J’ai le sentiment qu’on arrive en incarnation sans mode d’emploi, largué.
La beauté de cette fraternité du vivant et de la guidance que nous offrons réside dans le regard que nous offrons en même temps que cette guidance. Nous ne voyons que la lumière, ne regardons que la lumière, ne célébrons que la lumière. Lorsque nous te guidons notre attention reste sur cet être de lumière qui est ce que tu es, ainsi l'animant, l'éveillant, la rendant concrète.
La première invitation donc est à te souvenir. Fais de même. Quel que soit le ressenti, tu peux choisir d'honorer et d'affirmer "Je Suis l'Être de lumière que Je Suis". Bien sûr, tu ne voudrais pas l'affirmer depuis le mental, l'ego ou des émotions. Mais même si tu le faisais, au moins tu nourrirais cela, infimement peut-être puisque pour que l'affirmation, la vision, porte ses fruits elle doit être exprimée et portée depuis la pleine présence. Pourtant comprends, tu es être de détermination, tu pourrais donc te déterminer au-delà de tout ressenti à cette simple affirmation en permanence « Je Suis l'Être de lumière que Je Suis ».
Je le redis, si cette affirmation n'est pas exprimée depuis la pleine présence, elle aura peut-être une valeur infime mais pourtant une valeur, alors que si tu occultes cette réalité par quelque ressenti qui te fait croire que tu es une pauvre personne larguée dans une planète hostile, c'est cela que tu crées, et l'environnement va te refléter ce qu'est ta création.
L'incarnation est « fait de création ». L'être retrouve la pleine mémoire de la splendeur de l'Être à travers l'incarnation. La dévotion c'est d'adhérer à cela avec tous les aspects de soi, même lorsque quelques ressentis viennent en apparence occulter cela.
Comprends, plus l'identification s'intensifie, plus l'univers renvoie une image correspondant à ce qui a été projeté ou créé. La croyance de « je suis une personne larguée dans un univers hostile » crée la réalité apparente « je suis une personne larguée dans un univers hostile ». C'est une loi, ce qui est dit, pensé, ressenti, se reflète comme la réalité.
Vois-tu, lorsque tu dis « je suis une personne larguée dans un univers hostile », tu pétris la pâte de l'énergie d'être larguée dans un univers hostile. Alors la création est forte parce que tu la pétris avec la pâte correspondant à cette énergie. Lorsque tu dis « Je Suis l'Être de lumière que Je Suis », si tu le dis depuis le mental, l'ego ou les émotions sans être pleinement établie dans la pleine présence, tu pétris une pâte qui n'est pas totalement homogène. Pourtant l'impact de par la puissance du verbe créateur « Je Suis la Lumière que Je Suis », l'impact reste au niveau de « la Lumière que Je Suis », faiblement peut-être puisque tu donnes des contre-signaux. Pourtant, l'être s'en trouve renforcé, vivifié.
Notre guidance est accompagnement. Nous avons un respect infini pour la divinité de chaque être. Nous n'allons pas interférer avec le libre arbitre. Nous accompagnons, nous guidons, nous clarifions, nous inspirons. A chacun de comprendre, ce n'est qu'un film. Tu n'es pas un être tridimensionnel largué, tu es ce prisme divin et cosmique multidimensionnel. Et l'une des facettes du prisme a choisi la gloire de la tridimensionnalité pour retrouver d'un autre moyen, la maîtrise. Ce n'est qu'une des parties de toi. Tu ne peux pas prétendre que c'est le tout de toi. Où le peux-tu ?
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 9-8-24
Le corps de lumière n’est pas une transformation du corps tridimensionnel.
Le corps physique n’est que le reflet, la précipitation des pensées, des émotions ou des sentiments. Le corps de lumière est la précipitation de ces sentiments les plus fins qui sont l’essence de l’ouverture et l’essence du cœur. Le corps de lumière n’est pas quelque chose que l’on atteint en transformant le corps tridimensionnel, il est l’omniprésence de la réalité de l’être incarné vécu au niveau le plus fin des sentiments. L’expression spontanée des sentiments est le corps d’éternelle lumière. Il est là éternellement maintenant.
Le corps tridimensionnel plus ou moins fluide, plus ou moins vital, plus ou moins vibrant est l’expression de l’union du corps émotionnel, de l’ego, de la sphère mentale. Purifier la sphère mentale, égotique ou émotionnelle par l’attention rivée sur le souffle qui traverse le corps ouvre la porte pour purifier le corps physique, qu’il se fonde dans cette réalité éternelle du corps d’éternelle lumière, parce que le cœur est éternel, parce que les sentiments les plus fins sont éternels. Ainsi le corps d’éternelle lumière, ici et maintenant, est éternel. Quel est le choix ? Que fait l’humanité ?
La clef est l’attention offerte au souffle qui traverse le corps. La clef qui ouvre à la réalité des mondes célestes est cette attention tout offerte au souffle qui traverse le corps car lorsque le corps est lumière, la création est lumière puisque c’est l’attention qui précipite la création.
L’on peut concevoir la simplicité et l’exigence de l’être qui choisit de créer la Terre lumière. Cela n’a rien à voir avec un mental qui s’agite pour condamner des gouvernements, quelque outrage, quelque offense, pour critiquer, pour nourrir de son attention quelque dysharmonie en la condamnant. Cela n’a rien à voir avec l’effort d’un aspirant qui, depuis la sphère mentale, voudrait se hisser vers quelque autre domaine. Cela n’a rien à voir avec le raidissement de l’ego qui aspire tant à devenir. Cela n’a à voir qu’avec le dévot qui s’offre à la seule réalité de la création.
Le souffle est la vie. Le souffle est le verbe. Le souffle est la flamme. L’attention offerte au souffle qui traverse le corps sans mentaliser, sans fabuler, rassemblant l’énergie par cette même attention, permet l’ouverture. Ainsi est animé le corps d’éternelle lumière. Ainsi est précipitée la Terre d’harmonie.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-6-24
La joie n’est pas un ressenti.
Regarde l’inévitable. La joie n’est pas un ressenti. La joie ne peut être accaparée par une personne. La joie n’est pas conditionnée. La joie est ce qui est, ananda… Pour accueillir la joie, intensifie la présence au souffle. Choisis. Non avec une personne qui peut résister, qui veut comprendre. Peu importe la personne, ses raisonnements, ses doutes, ses obstinations, choisis.
C’est comme lorsqu’on veut aller au sommet d’une montagne, quelquefois il y a des tunnels, et l’on marche car l’on veut traverser le tunnel. Et l’on marche, et l’on marche, et l’on marche… Intellectuellement tu dois savoir que seule est la joie. Pour que la petite personne puisse s’unir à cette évidence, choisis d’intensifier la présence au souffle sans même te soucier de la joie. Tu sauras que l’intensité est suffisante pourrait-on dire - bien qu’elle ne soit jamais suffisante car elle doit toujours s’amplifier - lorsque la joie sera naturelle. Un sous-produit, non un ressenti, ce qui est…
Comprends, tu ne peux limiter la joie à un ressenti de joie. De même que tu ne peux limiter la présence à un ressenti de présence. Par nature, la présence et la joie s’autodépassent éternellement, sont un flot, une fréquence. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut atteindre. C’est quelque chose que ta création tout entière admire et contemple. Amène cette vibration qui croit être une personne à lâcher prise et à intensifier l’attention et l’intention.
Tu es la lumière, c’est un inévitable, n’est-ce pas ? La lumière est synonyme de la joie. La lumière n’est pas synonyme d’un ressenti de joie. La lumière est synonyme de l’énergie qu’est la joie, de l’infini qu’est la joie, de la joie simplement d’ananda.
C’est cela le triomphe sur la grande illusion. N’accepter aucune autre réalité que la réalité de ce qui est. Ainsi traverser toutes les apparences comme on traverse un tunnel, sans les nourrir de l’attention, en les aimant, simplement, et contempler Sat-Chit-Ananda au sein de toute forme, au sein de tout ressenti, sans emprisonner Sat-Chit-Ananda dans un ressenti. Simplement cette réalité suprême, êtreté, conscience, félicité. Lui offrir la totalité de l’attention en intensifiant la présence à travers le concret de la présence au souffle.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
L'humain divin, comme une autre race ou l'autodépassement de l'espèce.
Vous vous souvenez, n'est-ce pas, maintenant est le temple. Vous avez déposé les histoires, le passé, le futur, tout ce qui encombre et même tout ce qui semble enrichir, pour être maintenant la présence qui s'offre.
Poser et reposer. Reposer, non pas par opposition à une impression qui pourrait être de fatigue, reposer, poser à nouveau dans sa propre source. Cela peut être la permanence maintenant. Reposé dans sa propre source, l'on est régénéré. Et si la régénération n'est pas totale, alors intensifiez la présence, reposez-vous. Intensifier la présence doit être un acte de joie. L’on rentre dans la demeure de la joie…
Intensifier la présence n'est pas l'énergie durcie du vouloir mais l'enthousiasme de l'être qui s'offre et se repose dans sa source. C'est en intensifiant la présence que l'on se pose et se repose.
L'on ne peut choisir la léthargie. Intensifier la présence est simple et concret, la présence au souffle qui traverse le corps, la présence aux mouvements d'énergie dans le corps, la présence au contact du corps, la présence à l'air qui entoure le corps, la simple présence de ce qui est. Et par l'intensité de la présence à ce qui est, tout s'ouvre et l'Être, ce qui est la source de tout ce qui est, resplendit. Au cœur des cellules, l'Être resplendit…
Sur un plan, les êtres humains s'activent et s'excitent, courant après ils ne savent même plus quoi, dans le silence du cœur l'humanité divine s'ouvre à la splendeur de la vie. Il faut bien qu'un jour l'humanité choisisse.
Bien comprendre, intensifier la présence n'implique pas la rigidité d'une volonté, intensifier la présence est entrer au cœur de la présence en lui donnant l'attention comme une jubilation, et cette impression de jubilation ou de plénitude qui grandit à l'infini détend l'énergie. La pleine présence implique une énergie détendue et pleine. L'attention est offerte au souffle, aux mouvements corporels et ainsi à l'infini car le corps ainsi nourri est ouvert à l'infini. Une autre physiologie, une autre réalité qui ne peut impliquer ni l'effort ni la crispation ni la tension. La plénitude n'est pas tension, elle est ouverture à ce qui est. Et au cœur de tout ce qui est, est l'infini de la joie.
C'est ainsi que s'éveille l'humain divin, comme une autre race peut-être, ou la continuité de l'autodépassement de l'espèce ou le retour aux sources comme une boucle, la réalisation que l'humain est divin, non dans l'abstraction mais dans le concret.
Vous vous souvenez, ici maintenant est le temple. Le temple est le lieu de rencontre. Ici l'on se reconnaît et se reconnecte à sa divinité. Ici l'on se pose, ayant quitté les attaches aux histoires du passé ou à celles du futur, sans histoires, pleinement présent, maintenant.
C'est ainsi que la fraternité se rencontre. L'offrande est celle de la pure présence offerte à l'être humain divin.
Dans le temple, seul est l'éveil, l'éveil nourri par l'attention et mu par l'éternité de l'amour. Pour ceux et celles qui comprennent que rien n'est statique, que tout s'autodépasse éternellement, l'on ne peut que tendre vers l'infini, vers l'éternel. Pour ceux-là, le monde se révèle dans sa multidimensionnalité.
Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron
Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute mémoire.
Il est vrai, il est important d’œuvrer sur les mémoires de ce qui semble être le passé, qui n’est encore qu’une facette de maintenant. Et cette œuvre pour dénouer les mémoires est d’autant plus puissante, réelle et porteuse de fruits lorsque l’on s’établit dans maintenant. Cela doit être un inconditionnel. Ne pas attendre que les mémoires soient dénouées pour pouvoir s’établir dans maintenant. Ne pas attendre. Faire de la relation à maintenant, de la pleine présence à maintenant, un objet de dévotion, offrant toute pensée, quelle qu’elle soit, qu’elle soit du passé, du présent ou même du futur, dans la plénitude de maintenant.
Cela établit une dynamique plus puissante encore pour cette œuvre de dénouer les mémoires, qui reste valide, qu’il convient de ramener dans le contexte de maintenant. Maintenant Je Suis la fluidité absolue de mon système. Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute pensée, à toute mémoire. Maintenant Je Suis la fluidité de la dévotion qui s’offre à maintenant.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Il n’est pas un collectif de la Terre, mais des collectifs.
Tourner son regard totalement sur ce plan de vie qu’est l’humain divin, sur la civilisation de lumière. Et porter son regard implique l’implication de tous les niveaux de l’individualisation. Le cœur porte la vision. Le corps physique, le corps des sentiments, l’aura, les corps subtils, tous s’impliquent dans cette vision. Un autre mode de fonctionnement, d’autres paradigmes.
L’heure est venue où la vision n’est pas abstraite, mais où elle implique tous les aspects du fonctionnement de l’être. Une vie de joie pure, de confiance absolue. L’aura de la Terre saturée de la présence des millions d’anges, saturée de lumière. La structure de la Terre saturée de lumière. La structure du corps humain saturée du soma, cette substance la plus fine générée par les sentiments les plus fins, et les sentiments les plus fins générés par cette confiance absolue dans l’inévitable de la civilisation de lumière maintenant.
Vous le savez, tous les niveaux de vie sont présents simultanément maintenant, tous les plans de vie, tous les univers, toutes les terres. Il y a autant de terres et de créations qu’il y a d’êtres sur la Terre et dans la création. Choisir le plan de vie qui résonne avec sa propre divinité. Ce plan de vie admet uniquement la pure beauté, la présence de la fraternité, la complicité de tous les plans de vie. Le monde minéral, végétal, animal, humain, céleste, divin, tous les plans de vie unis pour incarner la divinité, par dévotion simplement. Tout contribue à tout, et tout participe avec chaque aspect de son individualisation.
Cela implique un autre niveau de dynamisme, une autre perception. Lorsque l’aura de la Terre est saturée de l’aura des anges, de la fraternité, cette vision est pleine et admet cette réalité seulement. Dans d’autres terres peut-être, pour d’autres êtres qui choisissent de mettre leur attention différemment, l’aura de la Terre est saturée d’autres énergies. Chacun choisit.
Mais cela ne veut pas dire occulter une réalité sur la Terre. Il n’y a pas une réalité sur la Terre, il y a des milliards de réalités sur des milliards de terres, projetées par chaque être qui crée sa création.
Heureux et bénis ceux et celles qui font le choix de porter la vision de la Terre lumière, d’incarner l’humain divin et d’impliquer pleinement tous les aspects de son individualisation pour inscrire cela.
Comprenez, il n’est pas Un collectif de la Terre, mais Des collectifs. Ceux qui vibrent la même vibration sont unis dans le même regard pour créer la même création.
La création n’est jamais figée, elle s’autodépasse éternellement vers plus de beauté, plus d’infini, plus d’intensité de lumière, d’intensité de vitalité, de pouvoir créatif, de dévotion. C’est cela la beauté de l’incarnation et de la vie. Être la beauté du vivant, c’est être le divin. Faire le choix inconditionnel de contempler la beauté, de rencontrer la beauté, de créer la beauté, s’unissant à cette vibration de dévotion, la vibration la plus fine, la plus pleine, la plus plénifiée.
L’aura de la Terre, pour ceux qui choisissent de contempler cela, est saturée de la présence de million d’anges qui, à l’unisson, honorent la beauté du Vénérable. Cela est plénitude infinie. Cela est réel, très réel, tangible. Encore faut-il aller le rencontrer par son attention, et ne pas altérer son attention par l’attention sur d’autres réalités, d’autres point de vue, d’autres plans de vie, d’autres vibrations. Garder sa vibration toujours plus élevée, par la dévotion offerte à incarner la pure beauté du-de la Vénérable.
L’heure est à l’ouverture et l’heure est au grand choix. Honorer cela.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Enfin les traditions s’unissent.
Se reconnaître soi-même dans sa divinité. Non pas l’ego qui accapare mais le cœur qui s’incline et reconnaît que puisque seul est le Divin, il faut bien que cet être que Je Suis ait l’humilité de lui rendre toute la place et de se reconnaître comme étant le Divin.
Se reconnaître comme étant le Divin, n’est pas un fait du mental, c’est un fait du cœur. C’est un fait de l’intellect le plus fin. C’est un fait des sentiments. Car s’offrir au Divin dans cette reconnaissance, est la plus belle des offrandes et la plus grande exaltation.
C’est aussi un fait du corps car le corps qui se reconnaît comme étant le Divin - notez bien, le corps qui se reconnaît comme étant le Divin, la reconnaissance dans le cœur des cellules, non pas le mental qui reconnaîtrait le corps comme étant le Divin mais du cœur des cellules - ce regard de la conscience qui reconnaît que la matière est conscience, que la matière est lumière, cela est la plus belle exaltation, la plénitude de l’incarnation.
En Cela, se fondent le temps et l’espace pour être maintenant cet émerveillement et maintenant projeter la création à l’image de Cela. C’est ainsi qu’est crée la Terre d’harmonie.
Les sages de tous les temps l’ont pressenti. L’heure est venue. L’heure est venue, les traditions s’unissent. Enfin, les traditions s’unissent. Et comprenez-le bien, comprenez la multidimensionnalité. Il est bien un plan, n’est-ce pas, où en apparence les traditions se déchirent. Le choix de l’être éclairé est de retirer toute son attention de cela pour créer cette réalité de la phase la plus vaste de la multidimensionnalité. Maintenant les traditions s’unissent pour créer l’émergence de l’être humain nouveau, de l’être humain divin.
La beauté est d’intensifier à un tel degré la relation de la conscience avec elle-même par l’attention.
Cette réalité que la matière est conscience, jaillit du cœur de la matière. Ce ne peut être un regard extérieur, celui du mental qui reconnaîtrait que seule est la conscience. Ce ne peut qu’être le regard de la conscience qui se reconnaît et réunifie. Alors la vie est établie à la source de toutes les traditions. Et la création unifiée émerge, la création d’harmonie. C’est ainsi que s’opère la transmutation cellulaire. Et c’est de par la transmutation cellulaire que le corps resplendit, corps de lumière, corps d’éternelle jeunesse.
Tout alors est perçu comme étant lumière. L’on ne peut voir que la beauté. Et ce qui est magnifique est qu’à contempler la beauté, on crée la beauté. C’est ainsi qu’un cercle de sages pourrait arrêter les guerres si tous choisissaient de contempler la beauté avec dévotion, ferveur et passion.
Voyez la beauté, la clef ultime est le regard et l’attention. Chérir la vision de l’être humain divin et offrir à cela toute son attention. L’humanité nouvelle, un autre paradigme. L’on ne peut le concevoir avec le mental car il ne s’agit pas d’un monde mental amélioré mais d’un monde lumière. Porter la vision est donner toute l’attention dans la plénitude du cœur.
Elle est bien réelle la fenêtre des possibles. Encore faut-il en faire le choix clair et conscient. Guérir la matière, lui redonnant sa nature de conscience en conscience depuis l’intérieur d’elle.
Les sages l’ont pressenti, en ont porté la vision, ont semé les graines. L’heure est venue pour que les graines s’épanouissent pleinement et que jaillisse la réalité, seule est la lumière. Tous les mondes alors s’unissent. Contempler cela. Contempler, c’est le créer. Et le créer implique faire des choix conscients de réinventer la vie, non selon des critères périmés un peu améliorés, mais selon l’éternel nouveau inhérent à la nature de la conscience. Il est exaltant de faire ce choix et de l’actualiser.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Intensifier la présence n’a rien d’austère, c’est un don de joie.
Depuis la pleine présence, porter la vision de la civilisation d’harmonie… Il est beau que lorsqu’un être porte une vision pour sa propre individualisation, simultanément, il porte la vision pour le tout, porte la vision au nom de l’humanité, de la Terre-lumière, de la Terre de paix, de la Terre hommage à l’Être divin.
Rassembler l’énergie, comprenez-le bien, est une attention permanente. L’on ne peut croire que l’énergie est rassemblée et porter son attention ailleurs. Inhérente à l’attention offerte au souffle est l’attention offerte à rassembler l’énergie. Inhérente à l’attention offerte au souffle est l’attention offerte à intensifier l’intense, intensifier la présence. Et cela est don de joie. Il n’y a rien d’austère. Cela est don de joie.
La voie sacrée répond à une exigence intérieure qui émerge de la plénitude. La voie sacrée s’accompagne d’un mode de vie simple et sain, sans aucun compromis pour les intentions émergeant de la plénitude du cœur, en respect absolu pour le corps, la nature. Le corps se doit d’être vivifié. Le corps se doit d’être nourri d’aliments simples, sains et vivants, et dynamisé, vivifié. Vivifier le corps permet de vivifier la structure mentale qui peut se suspendre, laissant place à l’intellect le plus fin, baignant dans la douce clarté.
L’énergie rassemblée, tout est ouvert. L’attention tout offerte à actualiser l’union, le regard est alors fondu dans celui de la fraternité qui contemple éternellement le visage du Sans-visage. Alors s’ouvre une autre humanité : l’humain divin. Et cela ne peut qu’avoir une caractéristique propre au niveau de la vibration, au niveau de la structure corporelle. L’humain divin. Son sang est or. Son sang est dévotion, non la dévotion d’une personne offerte à l’Être Suprême, la dévotion inhérente à la nature de l’Être Suprême puisque l’humain divin a tout offert à cette reconnaissance que seul est le Tout.
Le corps est lumière. Actualiser cela passe par un changement radical de relation avec le corps. La matière ne peut plus être considérée comme inerte, elle est lumière. Le corps est alors le temple et à travers la relation d’infini respect, d’amour infini offert au sein de la structure corporelle, la création tout entière est honorée. Tout se doit d’être considéré par le regard du cœur et dans celui de cet autodépassement inhérent à la nature de l’Être.
Sortant des automatismes, l’être choisit en conscience ce qui est juste et bon. Sortant des automatismes, se réalise une autre relation avec le corps physique, avec les corps. L’attention est offerte tout autant à l’infini dynamisme, au profond repos, en harmonie avec le rythme des jours et des saisons, en harmonie avec les cycles du soleil, ceux de la lune, en harmonie avec le chant de la Terre.
Le corps se trouve nourri dans la simplicité du repos profond. Il se trouve nourri dans le déploiement de l’infini dynamisme, bien au-delà des critères normaux. Et la norme du dynamisme corporel, bien au-delà des critères normaux, est la norme de la relation avec le corps. Et parce que l’univers tout entier pulse dans le corps, à travers la relation avec le corps, une autre relation avec le corps, avec tous les points du cosmos, une relation de respect, d’écoute et d’échange vivant, la conscience que Je Suis entre en relation avec la conscience que sont les planètes, tous les points du cosmos, toutes les fraternités, au sein de la structure corporelle.
Toujours intensifier la présence simplement. Tout le reste est sous-produit de la pleine présence. Jamais on ne peut croire que la présence est un acquis, car la présence est infinie. On ne peut que tendre vers l’infini. Ainsi simplement sont ouverts les mondes, les règnes. Dans la voix du cœur, résonnent toutes les voix. L’attention reste offerte à la source de toutes les voix, à la source et à l’aboutissement de tous les enseignements, la simplicité absolue, la grandeur absolue, l’humain divin.
Le corps est rayonnement d’or. De l’union des rayons, les cellules dansent. Le sang est lumière et or. La structure s’étire et la matière des organes, des cellules, de tous les aspects du corps dans sa structure, tout s’offre à l’évidence que seule est la lumière. Alors entre la vie dans le domaine du « tout est possible », car tout est possible.
La base de tout cela est l’intensité de l’amour, l’évidence que seul est l’amour, et que l’amour n’est pas une émotion conditionnée, que l’amour est la vie et le regard que le Divin s’offre à lui-même. L’amour est ce qui est. L’intensité de l’amour, du cœur de la source, est le plus bel agent de transfiguration de la structure physique. Puissent les humains se souvenir de la multidimensionnalité. L’on ne devient jamais, l’on actualise l’une des facettes du prisme par la puissance de son attention.
Maintenant la porte est ouverte. La porte est ouverte parce que maintenant un cercle d’êtres fait le choix de l’ouvrir. Car l’ouverture ne peut venir de l’extérieur, ni pour l’être individuel, ni pour le collectif de l’humanité. Il était vain d’attendre que le train des Anges vienne porter l’humanité sur un autre plan, une autre dimension. Les dimensions se juxtaposent dans le point de maintenant. Et c’est à chacun de faire le choix conscient d’actualiser l’ouverture. Le choix conscient.
Faire le choix conscient de ramener la norme au sein de la relation avec la structure physique. Et la norme est bien loin de ce qui semble la norme pour l’humanité endormie. L’humanité endormie prend des normes endormies, l’humanité éveillée prend pour norme le jaillissement de vitalité. C’est cet autodépassement qui mène chaque être vers la pleine réalisation de sa perfection, même si maintenant la perfection est déjà réalisée. Les deux simultanément. Tel est le jeu de l’incarnation.
Naturellement, de par l’intensification de la présence, s’établit cet autre mode physiologique, d’autres lois, d’autres relations entre le corps physique et les corps subtils, entre le corps physique et les points du cosmos, une autre intensité de rayonnement, une autre structure cellulaire. Le corps est lumière. La base pour cela est d’intensifier la présence avec passion et joie.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-4-24.
L’humain divin.
L’humain divin. Un cercle dit oui à incarner cela. Au cœur de la société, partageant la joie du même soleil qui se lève, du même soleil qui se couche, au cœur de la société, dire oui à la grande alchimie pour que resplendisse le divin humain. Un tel cercle est le levain de la Terre. Un tel cercle, par son simple rayonnement, est la puissance de transmutation qui entraîne toute l’humanité.
Bien sûr, reste le libre arbitre. Bien sûr chacun crée une création à l’image de sa réalité. Et en même temps, la grâce de dire oui à retrouver l’évidence de l’humain divin. La grâce pour soi, la grâce pour chacun, chaque être, chaque parcelle de création, même ceux qui, par le libre arbitre, feraient le choix de créer des créations qui de toute évidence seront le reflet de leur choix et de leur réalité.
Il est vrai, chacun crée la création à l’image de sa réalité. Il est vrai aussi que toutes les créations sont imbriquées les unes dans les autres comme ces poupées russes. La beauté du don de lumière que chaque être qui choisit d’incarner l’humain divin, fait à toutes les formes d’humanité, à tous les niveaux d’humanité.
L’attention principale est d’intensifier la présence. L’œuvre principale pour créer, manifester dans tous les niveaux de la Terre, la Terre de gloire, dans tous les niveaux de l’humanité, l’humain divin, est d’intensifier la présence. Le plus beau don à offrir à l’Être Suprême est d’intensifier la présence. La plus belle expression de dévotion est d’intensifier la présence.
Intensifier la présence et honorer la douce clarté qui permet d’offrir à l’ego le plus fin, la pleine présence qui dissout éternellement, établit l’ego dans sa gloire, la pure transparence, le feu de dévotion qui est l’unicité de l’Être et c’est tout, parce que tout est le tout.
Être l’amour qui bénit. En cela, nous nous rencontrons.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 4-5-24.
Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre.
Oser être la flamme unique qui crée sa réalité par son positionnement. Et qu'est-ce que le positionnement ? C'est l'incarnation de la réalité correspondant à la vibration inhérente à sa structure, à sa nature, à son unicité. Se positionner, c'est oser être à l'écoute et en harmonie avec la vision la plus vaste de son individualisation et incarner cela. Ainsi je créé une réalité à l'image de cette vibration, à l'image de ce point de vue qui est le point de vue à partir duquel je crée la réalité. Car chaque être crée sa réalité. Se positionner est embrasser pleinement ce point de vue et s'embraser de la vibration de ce point de vue. Et oser.
Il se doit d'être établi que, pour être authentique à ce positionnement, à cette vibration, l'être que Je Suis ne peut en aucun cas laisser entrer la moindre trace de jugement, la moindre trace de critique.
La situation sur la Terre est telle que certains incluent dans leur positionnement ce qui, pour le positionnement de l'autre, paraît mensonge. Deux positionnements différents. Celui qui, aux yeux de l'autre, semble mentir, justifie ce mensonge par quelque point de vue qui lui appartient. Celui qui considère que l'autre ment, justifie son positionnement par un point de vue qui lui appartient. Deux vibrations différentes, deux mondes différents. Reconnaître que l'expression de l'autre n'entre pas dans la trame de ce qui semble vrai dans notre point de vue, et donc ne pas accepter cela dans la trame de sa création, est un fait. Cela est l'expression de la clarté intérieure. Si celui qui perçoit qu'une vibration n'est pas en adéquation avec la vibration de sa création, et s'il se permet de juger ou de critiquer, il entre totalement dans la vibration de l'autre et sort de la trame vibratoire correspondant à sa réalité.
Le nouveau monde, la civilisation d'harmonie, la Terre de gloire est Terre de rayonnement. Chacun par la clarté discerne ce qui vibratoirement correspond à sa vision et sert cela. C'est entre soi et soi-même parce que je crée ma création.
Il ne convient pas d'entrer dans la création d'un autre. Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre. Pour créer et précipiter la réalité à l'image de la vision la plus vaste, je l'incarne. Je l'incarne en osant totalement l'incarner sans conflit, sans m'opposer même. Je sais que la puissance d'organisation de l'univers ne peut que servir cet élan infini de l'être qui sert sa réalité. L'expression de son point de vue n'est ni critique ni jugement. L'incarnation de son point de vue n'est ni critique ni jugement. La critique, le jugement, la condamnation, peu importe à qui cela s'adresse, peu importe dans quelle situation, génèrent une énergie qui dessert la vision. Créer la civilisation lumière, c'est retrouver l'exemple de ces civilisations d'harmonie qui jamais ne critiquent, qui incarnent et se dressent, flammes vivantes, et rayonnent. Et de ce rayonnement est projetée la précipitation de la vision…
Quand tu vis une situation, ce que tu exprimes dans le moment présent ne peut être clairement que l'expression de ton point de vue et non d'une vérité, puisqu'il n'y a aucune vérité. Il n'y a que des points de vue. Il y a des milliards de créations, autant de créations que d'êtres créés qui précipitent leur création. Chaque création génère des lois qui appartiennent à cette création, des jeux de conséquences et d'effets qui appartiennent à cette création.
La création des autres, si je reste dans l'audace d'incarner ma création, ne me concerne pas, ne peut me toucher, ne peut s'appliquer à moi.
Vous pouvez reproduire et diffuser ces messages à condition qu'ils soient dans leur version intégrale, en format texte sans modification (pas de vidéo au son enregistré par un robot), que vous indiquiez le nom de l'auteur, Agnès Bos-Masseron, et le site anandamath.org.
Tous les messages
L'Être le 23-8-24
Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.
Lorsque l'orage éclate.
Le corps de lumière n'est pas la transformation du corps tridimensionnel.
Tous les états de la Terre sont là maintenant.
Ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite mais comme une sphère.
Il ne s'agit pas de rêver la Terre d'harmonie.
La joie n'est pas un ressenti.
L'humain divin, comme une autre race ou l'autodépassement de l'espèce.
Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute mémoire.
Il n'est pas un collectif de la Terre, mais des collectifs.
Intimité avec son ange et ses guides.
J'ai le sentiment qu'on arrive en incarnation sans mode d'emploi, largué.
Porter la vision c'est la savoir déjà réalisée.
Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre.
Intensifier la présence n'a rien d'austère, c'est un don de joie.
L'humain divin.
Comment retrouver de la valeur à mes propres yeux ?
Ouvrir les portes pour l'humanité.
Maintenant contient le futur de la civilisation d’harmonie.
Enfin les traditions s'unissent.
Impermanence ou éternité ?
Incarner la joie.
L'intention est le Verbe de la dimension de lumière.
Le temps se courbe pour se fondre dans l'infini.
L'année du grand éveil.
Ressenti de perte de repères.
La matière n'est régie par aucun savoir figé.
Jouer le jeu de l'abondance.
Plans de vie.
Sortir des habitudes addictives de l'humanité.
Pour la création, l'heure est au grand alignement.
L'humanité sacrée est prête à émerger.
Transition de l'année et mondes parallèles.
Par l'attention exclusive à l'ouverture, les craquements cessent.
Message de la Fraternité à l'humanité
Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent.
L'heure est venue des flots de la grâce.
La réalité d’une civilisation revient à animer la même fréquence.
Le choix d’être plénitude détend profondément les structures.
La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts.
Lien entre le corps de lumière et le corps physique.
Y a-t-il un mode d'emploi pour débusquer les croyances ?
L'invocation des rayons.
Une croyance est un amas d'inertie rigidifiée
L'expérience de Douce Mère et Sri Aurobindo
Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité.
Visualiser cette vie pour toute l’humanité...
La passion d'être vivant.
Il ne s'agit plus de rêve.
Les voiles illusoires s'estompent.
Nous aimons donner les codes et les clefs.
Seul l'amour guérit, n'est-ce pas ?
Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé.
Réveiller les mémoires sacrées.
La puissance d'un être humain divin est infinie.
Ainsi naît une autre société.
L'ascension n'est pas une envolée que l'on attend passivement.
Le oui total à la plénitude permet à la structure du corps d'être transfigurée.
Le fil des réincarnations est devenu une croyance.
L'art de la manifestation, le processus de création.
Le temps rentre dans le temple de l'éternel.
La Terre sort de la linéarité du temps.
Les mondes célestes ou divins.
Comment offrir et dépasser les peurs ?
Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent.
Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.
Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend.
Sortir des modes compulsifs de comportement.
La beauté de l'ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté.
Le collectif n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.
Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité
Personne ne viendra transformer la Terre.
L'heure est révolue des transformations progressives.
Maintenant est le temps.
La Lune est-elle artificielle ?
L'année nouvelle est porte ouverte.
Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière.
Cette civilisation est retournée bien en deçà de la préhistoire.
Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti mais la fréquence à laquelle on s'harmonise.
Pourquoi la guerre en Ukraine ?
Ce dont on vous informe est le reflet d’une intention bien précise.
Si tout est Un, pourquoi parler d'êtres extérieurs, anges... ?
Le noyau d'harmonie entraîne l'humanité dans une spirale.
Le prisme qu'est chaque être.
La bienveillance ouvre à la multidimensionnalté.
Les dimensions ne sont générées que par les croyances humaines.
Chaque règne a ses codes.
Nul n'est spécial.
Déposer l'addiction au jugement.
Faire une autre lecture de l'année.
Sortir de l'illusion.
Si l'attention est enlevée des apparences, elles s'effondrent.
Les dés - si jeu il y avait - sont joués.
La joie est le plus puissant des aimants.
Il n'est aucun péril.
Alors que certains croyaient que viendrait le train des anges…
Marcher au diapason de la Fraternité.
Être bâtisseur de lumière.
La Fraternité des Immortels.
La réalisation de ses limites est preuve de transparence.
Maintenant s'opère un recodage dans la structure de l'être humain.
Redonnez à l'humanité sa puissance en rayonnant la vôtre.
L'heure est à la fin du contrôle.
Le corps est la précipitation des pensées, des croyances.
Donner ou non l'information sur l'effet des vaccins.?
L'invitation n'est jamais dans l'abstrait.
Dénoncer les apparences négatives, c'est souiller sa perception.
N'essayez pas de vous adapter à l'inadaptable.
L'humanité éveillée.
Honorer l'unicité et non la personnalité.
L'hygiène égotique
Les planètes s'inclinent devant la simple grandeur de l'être humain divin.
Clef pour sortir de la chaîne action-réaction.
La fonction des artistes est d'ouvrir les portes des mondes subtils.
La vie est félicité.